Une invitée raconte les signaux utilisés pour indiquer aux personnes de quitter les fêtes de Diddy
Une personne prétendant avoir assisté à l’une des fêtes de Sean ‘Diddy’ Combs a révélé ce que ‘les filles’ faisaient pour faire partir certaines personnes de la fête. Le rappeur de 54 ans a été arrêté et inculpé de racket et de trafic sexuel plus tôt ce mois-ci.
De nombreuses personnes se sont depuis manifestées prétendant avoir assisté à l’une de ses célèbres fêtes, révélant ce qu’elles auraient apparemment vu.
Un signal pour quitter la fête
Une vidéo ressurgie de Combs le montre sur Late Night with Conan O’Brien en 2002 parlant du besoin d’alcool et d’eau lors des fêtes, sinon les ‘dames’ vont partir, ajoutant qu’il faut les garder là et verrouiller les portes.
Le YouTuber Jeff Wittek s’est exprimé sur les réseaux sociaux à propos de ce qu’il a vu lorsqu’il aurait assisté à l’une des fêtes du rappeur et une chanteuse a également témoigné de ses expériences. La chanteuse a prétendu qu’il y avait une porte verrouillée et qu’il y avait ‘deux fêtes différentes’ pendant l’événement, dont elle ‘serait invitée à rejoindre plus tard’.
Une autre personne a également témoigné à propos de la deuxième moitié présumée de la nuit lors de l’un des événements de Combs.
Le signal pour partir
Une source ayant prétendument assisté à l’une des ‘White Parties’ de Diddy entre 2006 et 2011 a déclaré à Us Weekly qu’il y avait un moyen de savoir quand certains membres de la fête devaient commencer à rassembler leurs affaires et de laisser quelques-uns derrière eux.
Ils ont déclaré que le signal se produisait généralement vers deux ou trois heures du matin et qu’il marquait un changement dans l’ambiance de l’événement.
Les filles commenceraient à enlever leurs vêtements – c’était le signal pour que les gens partent.
On prétend que c’est à ce moment-là que les drogues seraient sorties et que le reste de la nuit durerait jusqu’à environ 7 heures du matin.
Les accusations contre Combs
L’acte d’accusation de Combs affirme que le rappeur organiserait des événements appelés ‘Freak Offs’.
Le document accuse le rappeur d’avoir transporté des travailleurs du sexe à travers les frontières des États et à l’international et d’avoir ensuite utilisé la force, la menace de la force et la coercition pour les amener à avoir des relations sexuelles prolongées avec des travailleurs du sexe masculins.
Le document continue : Combs aurait soumis les victimes à des violences physiques, émotionnelles et verbales pour les pousser à participer à des ‘Freak Offs’. Il aurait maintenu le contrôle sur ses victimes grâce, entre autres, à la violence physique, aux promesses d’opportunités de carrière, à l’octroi et à la menace de retenir un soutien financier, ainsi qu’à d’autres moyens de coercition, notamment en suivant leur localisation, en dictant leur apparence, en surveillant leurs dossiers médicaux, en contrôlant leur logement et en leur fournissant des substances contrôlées.
Combs continue de nier les accusations portées contre lui.