Perquisitions chez Sébastien Delogu : le parquet de Marseille écarte tout lien avec les accusations de malversation portées par le député
Le député LFI marseillais a été visé par une double perquisition dans le cadre d’une enquête pour vol et recel de vol de documents après un signalement effectué par l’élu. Cette affaire a suscité de nombreuses réactions et a semé la confusion dans l’opinion publique.
Des perquisitions sans lien avec les accusations de malversation
Contrairement à ce qui a été relayé dans la presse et sur les réseaux sociaux, les perquisitions chez Sébastien Delogu ne sont en aucun cas liées aux accusations de malversation portées par le député. Le parquet de Marseille a tenu à clarifier la situation dans un communiqué officiel.
Une enquête pour vol de documents confidentiels
Les perquisitions menées chez le député insoumis concernent en réalité une enquête pour vol et recel de documents confidentiels relatifs à la vie privée de l’ancien président du Crif, Isidore Aragones. Cette affaire a pris une tournure inattendue et a jeté un voile de suspicion sur le député marseillais.
Des révélations troublantes
Outre les fonctions occupées par Isidore Aragones à la tête du Crif, des révélations ont également été faites sur sa gestion au sein de la société de nettoyage Laser propreté. Cette entreprise a été accusée d’abus de bien social et de détournement de fonds publics, des accusations qui ont attiré l’attention des autorités sur les agissements du député Sébastien Delogu.
Un soutien de poids
Face à ces accusations et aux perquisitions qui en ont découlé, le député a reçu le soutien de personnalités politiques, dont Jean-Luc Mélenchon. Ce dernier s’est exprimé publiquement pour dénoncer ce qu’il qualifie de monde à l’envers, soulignant le scandale des malversations mises en lumière par Sébastien Delogu.