F1 : Une surprise cinématographique de l’année

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F1: Le meilleur film de l’année 2025?

En cette année 2025, nous avons été gâtés avec la sortie de plusieurs films à succès tels que Sinners, The Assessment, 28 Years Later et même Final Destination Bloodlines. Cependant, une surprise inattendue est venue s’ajouter à cette liste déjà impressionnante : le film sur la Formule 1 est l’un des meilleurs films sortis cette année. Réalisé par Joseph Kosinski, le célèbre réalisateur de Top Gun: Maverick, ce film met en scène une star vieillissante qui prouve qu’elle en a toujours sous le capot, littéralement, via des voitures de course de Formule 1.

Une Machine Bien Huilée

Ce qui rend F1 aussi surprenant, c’est qu’il s’agit essentiellement d’une énorme publicité. Bien sûr, le film raconte l’histoire de Brad Pitt dans le rôle de Sonny Hayes, un ancien pilote de Formule 1 qui a une seconde chance des décennies plus tard au sein d’une équipe en difficulté. Cependant, étant donné l’implication de la FIA dans le film (le pilote de Ferrari F1 Lewis Hamilton a même un crédit de production), il est évident que l’objectif principal du film était de promouvoir le Championnat du Monde de Formule 1. Tout comme Top Gun: Maverick est une pièce de propagande bien produite pour l’armée de l’air, F1 est un exercice de marketing de 200 millions de dollars pour la principale ligue de course du monde.

Cela dit, F1 prouve qu’il est possible de faire un bon film à partir de n’importe quoi. Le mélange d’un scénario simple, d’un casting charismatique, de séquences de course fantastiques et des instincts narratifs aiguisés de Kosinski font que le film reste toujours sur la bonne voie.

Une Fin Haletante

Si vous avez deviné que F1 se termine par une course de Formule 1 à enjeux élevés, vous méritez une étoile d’or. Après avoir rejoint l’équipe de F1 APX GP dirigée par l’ancien ami Ruben Cervantes (interprété par Javier Bardem), Sonny Hayes doit redresser une équipe en perdition en seulement neuf courses. Avec des hauts et des bas, le film culmine avec le Grand Prix d’Abou Dhabi, la dernière course et la dernière chance pour l’équipe de briller. Bien évidemment, l’équipe remporte la course.

F1 est aussi direct que possible, ce qui en fait un atout majeur. En suivant les conventions du genre, le film prouve qu’il n’est pas nécessaire de compliquer les choses pour réaliser un succès cinématographique.

Conclusion

Alors que nous entrons dans une saison estivale de films dominée par les dinosaures et les super-héros, F1 se démarque comme l’une des meilleures surprises de l’année jusqu’à présent. En démontrant qu’il est possible de produire un divertissement de qualité tout en respectant les normes, le film de Kosinski brille par sa simplicité et son efficacité. Il prouve qu’un bon film n’a pas besoin d’être compliqué pour être apprécié par le public.

Auteur

Jérôme Leroux, 31 ans, est un auteur passionné du monde du gaming, du cinéma et des séries. Originaire de Nantes, il a débuté sa carrière dans le journalisme en tant que contributeur indépendant pour des publications locales.

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