Quatre cambriolages de musées restés dans l’histoire: récits captivants de vols artistiques

Quatre cambriolages de musées restés dans l’histoire

Les musées ont souvent été la cible de cambrioleurs imaginatifs, prêts à tout pour mettre la main sur des trésors inestimables. Retour sur quatre braquages rocambolesques d’œuvres d’art qui ont marqué l’histoire.

Le mystère du Portrait du duc de Wellington

Le vol du Portrait du duc de Wellington, réalisé par Francisco Goya, est resté ancré dans les mémoires. Le tableau, acquis par le gouvernement britannique en 1961, a été dérobé de la National Gallery de Londres en 1965. L’auteur du vol, Kempton Bunton, un chauffeur de bus à la retraite, exprimait des motifs insolites, réclamant une somme d’argent pour les retraités téléphages.

Comment le Sherlock Holmes du marché de l’art a sauvé Le Cri

À Oslo, en 1994, un cambrioleur s’empare du célèbre tableau Le Cri d’Edvard Munch. Le tristement célèbre vol a été résolu grâce à l’intervention de Charley Hill, expert en art, qui a réussi à piéger les voleurs et récupérer la précieuse œuvre. Une véritable enquête digne des plus grands polars.

Le casse du siècle au musée Isabella-Stewart-Gardner

Le musée Isabella-Stewart-Gardner, à Boston, a été le théâtre d’un vol mémorable en 1990. Deux hommes, se faisant passer pour des policiers, ont dérobé treize toiles de maîtres, dont des Vermeer, Degas et Rembrandt. Malgré de nombreuses recherches, les voleurs courent toujours et les toiles restent introuvables.

Le vol express de deux Van Gogh

À Amsterdam, en 2002, deux hommes masqués ont dérobé en moins de quatre minutes deux tableaux de Van Gogh. Les œuvres ont été revendues à bas prix à un mafioso, avant d’être retrouvées chez la mère de ce dernier près de Naples. Un braquage rapide et audacieux qui a marqué les esprits.