Procès des tags de mains rouges sur le Mémorial de la Shoah
Le procès des tags de mains rouges au Mémorial de la Shoah à Paris a commencé avec trois Bulgares présents à l’audience. Georgi F., Kiril M., et Nikolay I. se sont présentés comme de simples exécutants motivés par l’appât du gain ou leur amitié avec un quatrième homme en fuite, rejetant toute implication antisémite ou russe.
Les aveux de Georgi F.
Georgi F., 36 ans, a reconnu sa participation à la dégradation en présentant ses excuses aux victimes. Il a expliqué avoir été recruté par un certain Mircho A., qu’il considérait comme un ami, pour un projet de paix. Georgi F. affirme qu’il ne connaissait pas la signification des logos des mains rouges, symbolisant le lynchage de soldats israéliens en Cisjordanie.
Les explications de Kiril M.
Kiril M., 28 ans, a témoigné avoir filmé les tags sans en comprendre la signification. Il évoque le rôle prépondérant de Mircho A. dans l’opération et affirmé avoir été utilisé à cause de sa fragilité émotionnelle après une rupture. Kiril M. soutient qu’il ne connaissait pas les véritables intentions de son complice.
Le point de vue de Nikolay I.
Nikolay I., trader en cryptomonnaies, était absent lors des dégradations mais est accusé d’avoir organisé le séjour des Bulgares. Il a prétendu vouloir aider Mircho A. en l’accompagnant financièrement. Nikolay I. nie toute implication politique ou russe, malgré des informations du renseignement français le retenant comme recruteur potentiel pour des actes de déstabilisation.
 
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