Le choc de la violence à Marseille
Après l’assassinat du petit frère d’Amine Kessaci à Marseille, le secrétaire national du syndicat de police Un1té réagit vivement. Il souligne qu’il n’y a pas de limite, pas de morale chez les trafiquants qui n’hésitent pas à franchir toutes les lignes. Cet acte, perpétré en plein jour et sans scrupules, montre à quel point la violence peut atteindre des niveaux extrêmes.
Un appel à l’action
Face à cette situation alarmante, Bruno Bartocetti, secrétaire national délégué zone sud du syndicat de police Un1té, lance un appel aux autorités. Il souligne la nécessité d’accorder plus de moyens pour lutter efficacement contre la criminalité. Il insiste sur l’importance de protéger les familles des repentis, afin de garantir leur sécurité et celle de leur entourage.
Un constat alarmant
Bruno Bartocetti déplore le manque de moyens alloués aux forces de l’ordre pour faire face à une situation de plus en plus critique. La protection des repentis, qui jouent un rôle crucial dans la lutte contre les réseaux criminels, est particulièrement mise en lumière. Il est urgent de renforcer les dispositifs de protection et de réagir de manière proactive pour éviter de nouveaux drames.