L’Eurovision 2024 en Suède : controverse autour de la vulgarité
L’Eurovision 2024 s’est déroulée le samedi 11 mai 2024 en Suède. La France représentée par Slimane a terminé à la 4e place tandis que le Suisse Nemo a remporté le prix pour son pays avec une prestation controversée.
Des critiques pour la promotion de la vulgarité
De nombreuses personnes ont exprimé leur mécontentement quant au contenu de l’Eurovision 2024, pointant du doigt la promotion de la vulgarité. Parmi elles, le rappeur Rohff s’est également fait entendre.
Rohff s’attaque à l’Eurovision 2024 et rappelle sa vision de la décadence
Dans un tweet, Rohff s’en prend à l’Eurovision 2024 tout en rappelant ce qu’il considère comme une déviance persistante. Il cite Saladin en ces termes : « si vous voulez détruire un peuple sans lui faire la guerre, alors répandez l’adultère et la nudité chez leurs jeunes ». Le rappeur questionne ensuite les bénéficiaires de l’inversion des valeurs et de la perdition de l’Homme et de la Femme.
Une critique envers le concours européen de la chanson
Rohff poursuit ses attaques envers le concours européen de la chanson, pointant du doigt certains pays candidats qui ont présenté des tableaux visant à promouvoir les LGBTQ+ et la nudité. Selon lui, l’Eurovision 2024 est devenue une compétition visant à choquer le plus possible, au détriment de l’art et du message. Il affirme que le concours est devenu le cirque des horreurs et dénonce un agenda cherchant à supplanter les rôles traditionnels homme-femme.
Rohff évoque la dépopulation mondiale et l’influence des réseaux sociaux
Rohff élargit son propos en abordant la forte exposition de la nudité sur les réseaux sociaux chez les jeunes, ainsi que le projet de test de fertilité sur les jeunes. Il développe alors une théorie de dépopulation mondiale, affirmant que le message vendu est une prétendue liberté qui conduit en réalité à notre destruction progressive.
Le rappeur appelle à se rattacher aux valeurs familiales et à notre histoire
Rohff conclut son message en appelant chacun à se raccrocher à notre passé, nos origines et nos valeurs familiales afin de ne pas devenir un arbre sans racines, c’est-à-dire un peuple à la dérive.
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