Relaxe de deux femmes ayant diffusé des rumeurs sur Brigitte Macron
La cour d’appel de Paris a rendu une décision en faveur de deux femmes qui avaient propageant des rumeurs sur internet concernant l’épouse du président Emmanuel Macron, Brigitte Macron. Les prévenues, Natacha Rey et Amandine Roy, ont été relaxées par rapport à 18 articles diffusés sur le web, remettant en question l’identité de Brigitte Macron.
Une rumeur virale remontant jusqu’aux Etats-Unis
Au centre de cette affaire se trouve une infox particulièrement répandue sur les réseaux sociaux, affirmant que Brigitte Macron serait une femme transgenre. Cette rumeur a même atteint les Etats-Unis et suscité un intérêt international. Les deux prévenues avaient été précédemment condamnées en première instance à une amende avec sursis et à verser des dommages et intérêts.
Une décision contestée par l’avocat de Brigitte Macron
L’avocat de Brigitte Macron, Jean Ennochi, a exprimé son désaccord avec la décision de la cour d’appel de Paris. Il a indiqué qu’il consulterait ses clients pour définir les prochaines étapes à suivre dans cette affaire. Les prévenues, Natacha Rey et Amandine Roy, ont donc été relaxées après avoir été condamnées en première instance en septembre dernier.
Une décision saluée par l’avocat des prévenues
L’avocat de l’une des prévenues, François Danglehant, s’est félicité de la relaxe prononcée en faveur de Natacha Rey. Il a souligné que cette décision était une victoire pour sa cliente, qui avait été poursuivie et condamnée, malgré l’issue positive de cette affaire en appel. Les prévenues avaient activement contribué à la propagation de la fausse information en 2021.
Une affaire complexe touchant à la liberté d’expression et à la diffamation
Cette affaire met en lumière les enjeux liés à la diffusion de fausses informations sur internet, ainsi que les limites de la liberté d’expression. Elle soulève également des questions sur la diffamation et la protection de la vie privée des personnalités publiques, telles que Brigitte Macron. La décision de la cour d’appel de Paris dans ce dossier suscite des débats et des réactions diverses au sein de la société.