Affaire Grégory : De nouvelles expertises ADN ne révèlent pas d’éléments significatifs
En mars 2024, à la demande des parents du petit Grégory, Christine et Jean-Marie Villemin, la justice a ordonné de nouvelles expertises dans l’affaire du meurtre de l’enfant. Cependant, ces expertises sur les ADN et la fréquence vocale des appels téléphoniques du corbeau n’ont pas apporté d’éléments significatifs, selon le procureur général à la cour d’appel de Dijon, Philippe Astruc.
Investigations en cours
Bien que les expertises n’aient pas permis d’avancer dans l’enquête, les investigations vont se poursuivre sous l’autorité du président de la chambre de l’instruction de Dijon, assure Philippe Astruc. Ces nouvelles expertises portaient notamment sur les ADN retrouvés sur les cordelettes qui étaient sur le corps de l’enfant, sur son anorak et son menton, ainsi que sur certains courriers du corbeau, dont celui datant du jour de sa mort, le 16 octobre 1984.
Confiance et détermination du couple Villemin
Le couple Villemin, les parents de Grégory, reste confiant dans la justice et déterminé. Leurs avocats continueront à œuvrer pour faire éclater la vérité dans cette affaire qui reste un mystère depuis plus de quarante ans. François Saint-Pierre, l’un des avocats du couple, déclare que nous en reparlerons prochainement, lorsque la chambre de l’instruction aura analysé l’ensemble du dossier.
Le meurtre non résolu de Grégory
Le 16 octobre 1984, le corps de Grégory Villemin, âgé de 4 ans, a été découvert dans la Vologne, les mains et les jambes liées. Malgré plus de quarante années d’enquête, le meurtre de Grégory reste un mystère. Les nouvelles expertises ADN ordonnées l’année dernière n’ont pas permis de faire avancer sensiblement l’affaire, laissant ainsi les investigations en cours afin de résoudre ce crime.
Ressources supplémentaires
Pour plus de détails sur l’avancée de l’enquête dans l’affaire Grégory, vous pouvez consulter notre article : Affaire Grégory : où en est l’enquête, quarante ans après la mort du petit garçon ?
