Procès en diffamation
Jordan Bardella, président du Rassemblement national, a perdu un procès en diffamation contre le quotidien Libération, selon l’avocat du journal. Le tribunal correctionnel de Paris a jugé que le titre de l’article incriminé n’était pas diffamatoire.
Plainte contre le titre
Le président du parti d’extrême droite avait porté plainte en diffamation contre le titre d’un article de Libération, paru en septembre 2023. L’article qualifiait Bardella d’assistant parlementaire fantôme dans le cadre de l’affaire des assistants parlementaires fictifs du FN/RN au Parlement européen.
Absence de diffamation
Le tribunal correctionnel de Paris a considéré que le titre en question n’était pas diffamatoire, selon l’avocat du quotidien. Jordan Bardella dispose de 10 jours pour faire appel de cette décision.
Révélations sur l’affaire
L’article incriminé révélait comment Bardella avait échappé aux poursuites judiciaires dans le cadre de l’affaire des assistants parlementaires fictifs du FN/RN. Les journalistes n’ont trouvé aucune preuve de son travail en tant qu’assistant de Marine Le Pen au Parlement européen, malgré une rémunération de plus de 10 000 euros.
Implications politiques
Cette affaire met en lumière les règles concernant les assistants parlementaires européens, ainsi que les actions menées par le Rassemblement national au Parlement européen. Elle soulève également des questions sur la justice et la transparence en politique.
Conclusion
Le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, a perdu un procès en diffamation contre le quotidien Libération. Le tribunal correctionnel de Paris a jugé que le titre de l’article incriminé n’était pas diffamatoire. Cette affaire met en évidence les règles concernant les assistants parlementaires européens et soulève des questions sur la transparence en politique.