Le procès des agresseurs de Kim Kardashian : une violence marquante
Au procès des braqueurs de la star américaine Kim Kardashian, la journaliste de CNN Saskya Vandoorne pointe du doigt une différence de couverture entre médias américains et français. Elle souligne l’aspect violent de ce braquage qui a traumatisé la star.
Une couverture médiatique internationale pour un procès hors norme
Plus de 400 journalistes ont été accrédités pour couvrir le procès des braqueurs de Kim Kardashian. La star américaine doit témoigner devant le Palais de justice de Paris. Saskya Vandoorne, journaliste pour CNN, relève l’importance de cet événement qui attire l’attention à la fois en Amérique et en France.
Une différence de perception entre les médias américains et français
La journaliste de CNN constate une différence de traitement entre les médias américains et les médias français. Alors que les premiers insistent sur la violence du braquage, les seconds semblent fascinés par les braqueurs, allant jusqu’à les qualifier de papys braqueurs.
Un contraste culturel sur la question de la richesse et de la célébrité
Saskya Vandoorne explique que la réaction des médias et du public suite au braquage de Kim Kardashian met en lumière une différence culturelle entre les Etats-Unis et la France. Alors que montrer sa richesse est accepté aux USA, en France, cela peut être critiqué. Cette disparité influence la perception de l’affaire.
Les enjeux médiatiques et culturels autour du procès
La journaliste souligne le contraste dans la manière dont les accusés sont perçus, surtout en ce qui concerne le surnom papys braqueurs, qui laisse entendre qu’ils sont inoffensifs. De plus, le délai de neuf ans entre le braquage et le procès soulève des questions sur le système judiciaire français.