Réflexion après le procès Le Scouarnec
Manon Lemoine, l’une des victimes de Joël Le Scouarnec, exprime sa déception quant à l’absence de réaction politique et sociétale après le procès. Elle souligne le besoin d’une commission parlementaire pour analyser les faiblesses systémiques de notre société.
Appel à l’action des pouvoirs publics
Manon Lemoine alerte sur l’importance de réagir face à une affaire aussi grave que celle de Joël Le Scouarnec. Elle demande une prise de conscience des pouvoirs publics et espère que des mesures concrètes seront prises pour empêcher la répétition de tels actes.
Le besoin d’une commission interministérielle
Le Collectif de victimes de Joël Le Scouarnec a sollicité l’ouverture d’une commission interministérielle pour traiter les conséquences de ce scandale. Manon Lemoine cite l’exemple de l’Affaire Bétharram pour souligner l’importance de ce type de commission dans de telles situations.
Une demande de justice renforcée
Manon Lemoine insiste sur la nécessité d’inscrire la sérialité des crimes sexuels comme circonstance aggravante. Elle souligne l’absurdité qu’un pédocriminel risque la même peine qu’un agresseur ayant fait 300 victimes.
L’appel à une responsabilité collective
Alors que le procès touche à sa fin, Manon Lemoine formule le souhait que les pouvoirs publics assument leurs responsabilités et travaillent ensemble pour éviter de nouveaux drames. Elle insiste sur l’importance d’une approche collective pour trouver des solutions efficaces.