Greenpeace dénonce les liens économiques entre la France et la Russie
L’ONG Greenpeace a déposé la statue en cire d’Emmanuel Macron devant le siège d’EDF à Paris, après qu’elle a été volée au musée Grévin. L’objectif est de dénoncer les liens économiques, notamment sur l’énergie, entre la France et la Russie de Vladimir Poutine.
Une action symbolique et engagée
Sur une pancarte brandie par l’un des activistes, on peut lire Poutine-Macron, alliés radioactifs. Cette action symbolique vise à attirer l’attention sur les relations économiques controversées entre les deux pays. Jean-François Julliard, directeur général de Greenpeace France, a souligné que le retour de la statue était prévu dès le début de l’opération, rappelant qu’il s’agissait d’un emprunt.
La statue de cire retrouvée et restituée
D’une valeur de 40 000 euros, la statue d’Emmanuel Macron avait été volée au musée Grévin et ensuite déposée devant le siège d’EDF. Greenpeace a prévenu la direction du musée ainsi que les forces de l’ordre pour restituer la statue. Il revient désormais au musée et aux autorités compétentes de reprendre possession de l’œuvre.
Les réactions suite à l’action de Greenpeace
Suite à cette action, deux personnes ont été interpellées par les forces de l’ordre. Cette initiative de Greenpeace a suscité des réactions diverses, mettant en lumière les enjeux politiques et économiques dans les relations internationales. L’ONG continue ainsi d’être un acteur engagé dans la sensibilisation de la société civile aux questions environnementales et politiques.