Buzz Aldrin et Verizon : La solution satellite pour les zones sans service cellulaire

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Apollo 11 Astronaute Buzz Aldrin fait la promotion du service satellitaire de Verizon pour les zones sans service cellulaire

L’astronaute Buzz Aldrin, qui fut l’un des premiers hommes à marcher sur la Lune en 1969, s’est associé à Verizon pour promouvoir la solution satellitaire de l’entreprise visant à résoudre les problèmes de couverture cellulaire. Dans une publicité de Verizon, Aldrin, âgé de 95 ans, apparaît aux côtés de Paul Marcarelli, le premierhomme qui a demandé Can you hear me now? (Peux-tu m’entendre maintenant ?). Dans la publicité, Aldrin porte une veste argentée ornée du patch de la mission Apollo 11 et plante un drapeau rouge et jaune alimenté par le satellite de Verizon dans des endroits éloignés autour de la Terre. À chaque arrêt, qu’il s’agisse du désert d’un canyon, d’un sommet enneigé ou d’une zone sauvage déjà considérée comme une zone sans service, l’ancien général de l’armée de l’air américaine et docteur en astronaute utilise son smartphone Android de Verizon pour prouver qu’il peut toujours envoyer des SMS.

Les progrès de la connectivité par satellite

Buzz Aldrin souligne l’importance des progrès technologiques en matière de connectivité, en soulignant qu’il est désormais possible de voir des satellites passer dans le ciel. Il affirme dans la publicité : Cela fait 10 ans que j’ai demandé à l’Amérique ‘Can you hear me now?’ (Pouvez-vous m’entendre maintenant ?). À l’époque, les zones sans service étaient partout, et aujourd’hui, on peut dire qu’elles se trouvent uniquement dans les endroits les plus reculés, comme le côté sombre de la Lune. Le satellite est certainement la prochaine frontière.

La solution satellitaire de Verizon

Verizon propose à ses clients disposant des nouveaux modèles de téléphones avec des logiciels mis à jour d’envoyer des textos, notamment des messages SOS d’urgence avec leur position, dans les zones des États-Unis sans couverture cellulaire. Selon l’entreprise, son réseau couvre plus de 99% des endroits où les gens vivent, travaillent et jouent aux États-Unis, mais son service satellitaire couvre les quelques endroits du pays où les clients ne peuvent pas se connecter. Pour utiliser ce service, les téléphones, notamment la série Pixel 9 de Google et le Galaxy S25 de Samsung, doivent être à l’extérieur et avoir une ligne de visée avec les satellites Viasat, Echostar ou autres faisant partie du service de connectivité satellitaire Skylo. Ce service peut ne pas fonctionner dans certaines parties de l’Alaska.

Les autres solutions satellitaires

En plus de sa collaboration avec AST SpaceMobile, une entreprise de conception et de fabrication de satellites basée au Texas, Verizon travaille également avec AT&T et T-Mobile pour fournir des services de réseau basés sur l’espace. AST SpaceMobile a récemment obtenu l’autorisation de la FCC (Commission fédérale des communications) pour tester son service aux États-Unis. Cela permet aux cinq premiers satellites commerciaux BlueBird de l’entreprise, déjà en orbite basse autour de la Terre, de tester la connexion avec les smartphones de Verizon, prenant en charge la voix, les données complètes, les applications vidéo, ainsi que d’autres fonctionnalités cellulaires natives, sans avoir besoin d’un logiciel spécialisé ou d’une mise à jour spécifique.

Conclusion

Buzz Aldrin, astronaute d’Apollo 11, collabore avec Verizon pour promouvoir le service satellitaire de l’entreprise qui vise à éliminer les zones sans couverture cellulaire. Grâce aux progrès de la connectivité par satellite, les clients de Verizon peuvent désormais envoyer des messages même dans les endroits les plus reculés. En travaillant avec AST SpaceMobile, AT&T et T-Mobile, Verizon cherche à étendre ses services de réseau basés sur l’espace. Cette collaboration ouvre la voie à de nouvelles opportunités de connectivité pour les utilisateurs de téléphones mobiles.

Auteur

Amandine Dubois, 29 ans, est une rédactrice passionnée du monde de la technologie et de la science. Originaire de Strasbourg, elle a commencé sa carrière dans le journalisme scientifique en tant que pigiste pour des magazines spécialisés.

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