La fin du monde : NASA confirme la prédiction de Stephen Hawking, et cela pourrait arriver plus tôt que prévu

La fin du monde : NASA confirme la prédiction de Stephen Hawking, et cela pourrait arriver plus tôt que prévu

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La confirmation de la prédiction de Stephen Hawking par la NASA

Stephen Hawking, célèbre physicien et astronome, a partagé une prédiction glaçante en 2016 dans laquelle il évoquait la destruction potentielle de la Terre causée par les activités humaines.

Avant son décès en 2018, le scientifique de renom avait souligné que les problèmes causés par l’homme, tels que la guerre nucléaire, le réchauffement climatique et les virus génétiquement modifiés, contribuaient à endommager la planète.

Le réchauffement climatique au sommet des préoccupations

En 2024, le réchauffement climatique est au sommet de l’agenda de nombreux militants pour le changement climatique. Des mouvements tels qu’Extinction Rebellion et Greta Thunberg tentent de mettre en évidence le danger auquel la planète est confrontée, ainsi que celui qui pourrait encore s’aggraver si des mesures durables appropriées ne sont pas mises en place.

La prédiction de Hawking : une fin proche

La prédiction de Hawking selon laquelle la fin du monde pourrait avoir lieu d’ici 2600 est inquiétante. Selon la BBC, Hawking a également déclaré que l’avancée de la technologie créerait de nouvelles façons de tout faire mal.

La réaction de la NASA

Dans un communiqué, la NASA a déclaré qu’elle ne pouvait pas confirmer la prédiction de la fin du monde en 2600, tout en reconnaissant les préoccupations soulevées par Hawking. La NASA a souligné qu’elle étudiait notre planète depuis plus de 50 ans et qu’elle fournissait des informations pour le bénéfice de l’humanité, notamment en étudiant des domaines mentionnés par Hawking.

Les effets du réchauffement climatique causé par l’homme se produisent déjà, sont irréversibles pour les personnes actuellement en vie et ne feront qu’empirer tant que nous continuerons à libérer des gaz à effet de serre dans l’atmosphère.

Une lueur d’espoir

Même si les avertissements de Hawking et de la NASA sont difficiles à ignorer, Hawking lui-même avait auparavant laissé entrevoir une lueur d’espoir. Il avait déclaré : Nous ne cesserons pas de progresser ou de revenir en arrière, nous devons donc reconnaître les dangers et les maîtriser. Je suis optimiste et je crois que nous en sommes capables.

La NASA a également adopté une note optimiste en soulignant que la gravité des effets du changement climatique dépendra des actions futures de l’homme. Sur son site Web, elle ajoute que si nous réduisons les émissions, nous pourrions éviter certains des pires effets.

Auteur

Amandine Dubois, 29 ans, est une rédactrice passionnée du monde de la technologie et de la science. Originaire de Strasbourg, elle a commencé sa carrière dans le journalisme scientifique en tant que pigiste pour des magazines spécialisés.

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